Le Rallye du Centenaire (Part 1) : 100 ans de Rotary International.

Daniel Pigeolet    2005-10-13 19:17:00   

Dans le baquet de droite ...


Souvenez-vous, je vous ai laissés début mai, au terme du Rallye Infernal, en posant quelques questions sur l’avenir du rallye de régularité en Belgique. AUCUNE REPONSE des habitués ou anciens habitués du championnat, hormis celle de Robert Vandevorst, qui m’a écrit de Bosnie, en direct. Alors !!! que faut-il faire pour retrouver des plateaux plus conséquents ? Rallymen, donnez votre avis et les organisateurs s’adapteront. C’est tout de même plus amusant de rouler contre 60 ou 70 concurrents que contre 20.

Ceci étant dit, et la préparation de la 8è Ronde de Ciney (eh oui 2 rallyes sur l’année, toc, toc, t’es fou ???) m’ayant pris beaucoup de temps, c’est avec retard que je reviens sur la suite de nos aventures. Et vous allez voir, il y en a eu.

Le Rallye du Centenaire - 100 ans de Rotary International.

Retour juin 2005. Pour fêter le centenaire de la création du Rotary International, le club d’Antibes a décidé d’organiser du 6 au 12, un rallye type "Monte Carlo" pour voitures anciennes. Copie conforme du grand frère, avec fourniture du parcours littéraire et des zones de régularité, 2 mois à l’avance. A vous de trouver les bonnes cartes, les bonnes routes et de ... préparer vous-même votre road book. Ceux qui ont lu mon article sur le Monte Carlo 2004 comprendront la masse de travail que cela demande. Les autres n’ont plus qu’à le faire dans la rubrique ad hoc d’Automag.be.

Départ à Bxl avec la 2002.

Comment nous est venu cette idée de participer à ce Monte Carlo d’été ? C’est mon ami Eric Mossoux, rotarien, qui en a eu vent presque par hasard et qui a tout fait pour trouver les sponsors d’une bonne ?uvre. Quelle bonne ?uvre ? Et bien par équipe de 3 voitures, le Rotary offre une voiturette spécialement équipée pour les personnes à mobilité réduite. Aussitôt dit, aussitôt fait, nous nous associons avec 2 autres équipages du Dinant Classic Club : Duchâteau-Laduron sur Jaguar type E et Louckx-Geiben sur Mercedes 300 SL. Quant à nous, nous partirons avec l’habituelle et fidèle BMW 2002 d’Eric.

Découpage de ce rallye :

Plusieurs départs, Bruxelles, Londres, Hyères, Barcelone et Turin, avec un parcours de concentration qui doit amener tout le monde à Fontainebleau, devant le château.

 lundi 06 : Bruxelles - Rouen (315 km)
 mardi 07 : Rouen - Fontainebleau (300 km)
 mercredi 08 : Fontainebleau - Vichy (335 km)
 jeudi 09 : Vichy - Nîmes (412 km)
 vendredi 10 : Nîmes - Menton (405 km)
 samedi 11 : Menton - Menton (256 km)

A cause d’un manque cruel de publicité, nous ne serons que 48 au départ, mais avec quand même pas mal d’habitués du Monte Carlo et de la régularité. Au moins 10 équipages peuvent émerger.

Passons tout cela en détail et place à ...l’aventure.

Lundi 6, après un gros BISOU à nos moitiés (hem, hem), nous quittons Andenne où réside Eric. Il est 06h30, et pour éviter les bouchons de l’entrée de Bruxelles, nous avons préféré assurer. Le départ est prévu au Rond Point Schumann à 11h00. En roulant à l’aise, nous sommes rendus à 07h30 et constatons qu’il n’y a rien à constater. Pas d’accueil, pas de banderoles. Bof, nous avons le temps, mais bon sang qu’il fait froid, malgré nos polars. Nous ferons, à pied, le tour des Communautés européennes, ne verrons rien de plus, aussi allons nous déjeuner tranquillement.

Equipage Louckx-Geiben

09h00, arrivée de nos amis du DCC et de quelques concurrents étrangers et Belges. C’est déjà l’occasion de faire connaissance ou de saluer les anciens connus tel que Jean Degey, associé au redoutable Joseph Lambert, en qui je vois déjà les futurs vainqueurs.

10h30, enfin arrivée de l’organisation "improvisée", mais vous allez le lire au combien super sympa. Jean Gaspare va vraiment porter le rallye sur ses costaudes épaules. Placement d’une pancarte Rotary sur le trottoir et l’affaire est jouée. Pas de contrôle technique, ni administratif. Une quinzaine de voitures partent de minute en minute à 11h00 précise et comme nous avons le numéro 1, à nous l’honneur.

Equipage Duchateau-Laduron

En traçant nos cartes, nous avions bien vu que le tracé avait été fait via le net, sans trop savoir où les concurrents allaient passer. Car sortir de Bruxelles via les grands boulevards et la rue de Stassart, où jadis ?? les dames arpentaient le trottoir, ensuite la chaussée de Mons vers Halle, avouez qu’il y a mieux. Cela prend du temps, mais la liaison vers Rouen est faite de grands axes, que certains éviteront...pour prendre l’autoroute. Mauvais joueurs !!! Mais il faut vous dire que l’organisateur n’a pas prévu de contrôles de passage. Qu’à cela ne tienne, nous ferons TOUT le parcours prévu.

Avant de prendre l’autoroute à Mons, jusque Cambrai, 1er arrêt à l’assistance mise magistralement sur pied par le DCC. Christian Burny, Michel Doeran et Philippe Laduron sont les joyeux, et le mot est faible, lurons qui sont chargés de transporter quelques pièces de rechange et surtout d’assurer le ravitaillement. Donc, arrêt sur notre temps de route, 1 sandwich bien garni et 1 bonne soupelette et en avant.

Epoux Vandeneynde Porsche 356 A

Nous passerons sans problème Valenciennes, Cambrai (attention, pas de bêtises), sortie vers Amiens Centre et arrivée à Rouen, dans le vieux centre historique, après 312 km de route. Rien à signaler sur la route, sinon de beaux paysages et qu’il fait beau. Ha si, j’oubliais : avant Amiens, nous verrons plusieurs très jolies jeunes "dames" de couleur, faisant ??? je ne sais quoi, sur de petits parkings. Qu’en pensez-vous ?

Nous sommes les 1ers sur la Place du Vieux Marché, avec plus d’une heure d’avance. Mais comme à Bruxelles, pas de comité d’accueil. Le doute s’installe progressivement et l’arrivée des autres concurrents partis de Londres, nous conforte dans l’idée que sommes au bon endroit Tout le monde ira de sa petite balade pédestre, mais sans succès. Nous sommes tous garés un peu n’importe comment et fort heureusement, la police est très conciliante. Le Rotary de Rouen "aurait" oublié le rallye.

Milard-Bodson Datsun 280 ZX

Fin de la 1ere étape, nous regagnons en convoi le Novotel à la sortie de Rouen. Je pense avoir pris froid le week-end avant le départ et malgré le soleil, le temps est assez glacial pour un mois de juin. Le nez coule et la gorge commence à racler. Qu’à cela ne tienne, l’assistance me fournit en médicaments, tant solides que liquides. L’apéro est servi dans la petite camionnette d’assistance ex RTT (elle doit en avoir l’habitude).

Fontainebleau, la BMW se soulage sur les pavés du château !

Mardi 7, 07h30, le réveil est difficile. J’ai passé une mauvaise nuit, gorge, et j’ai un peu la gueule de bois. Le moral des troupes est bon, il faut tenir. L’assistance a fait la fête dans le parking de l’hôtel en invitant des riverains à prendre un verre (mon ?il) de l’amitié. J’ai oublié de vous dire que Christian, Michel et Philippe dorment dans cette petite camionnette formidablement aménagée.

09h00, nous menons la meute des quelques 30 voitures pour la plus mauvaise journée de rallye.

départ de Rouen 2è jour, toujours 2002

La sortie de Rouen n’est pas bien spécifiée et quelques erreurs seront inévitables. Fort heureusement, cela n’occasionne que quelques minutes de retard. Nous empruntons les nationales vers le sud de Beauvais, Pontoise, Conflans. Mais là, nous arrivons dans la grande périphérie parisienne, avec ce que cela comporte comme embouteillages. Nous aurons à peine le temps de nous restaurer sur le coup de 13h00 du côté de Cergy. Bravo à l’assistance d’être arrivée à temps. Apéro, boulettes, purée et coup de rouge. Pourtant, le coup d’ ?il vaut la peine, puisque nous passerons par Conflans Ste Honorine, la forêt de St Germain, Maison Laffite, Marly-le-Roi, le château de Versailles, Rambouillet, la Vallée de Chevreuse, Monthléry et arrivée devant le château de Fontainebleau.

Les voitures souffrent dans la circulation dense à très dense, certains véhicules plus anciens ayant difficile. La BM ne bronche pas, il n’y a que les miennes qui sont en mauvais état. Eric est à son affaire, mais souffre un peu quand même de "manque de nutrition". Le repas de midi est un peu bâclé.

réponse à la question : qui avons photographié ?

Après 300 km, nous immobilisons notre voiture devant le magnifique château, avec encore un grosse avance sur l’horaire et en profitons pour discuter avec le contrôleur en place (enfin !), un notaire de Nice, vraiment très sympathique. Nous photographierons et nous ferons photographier par des ...à vous de deviner. Il fait bon, autant profiter de l’avance, pour aller faire le plein de la toto. Nous redémarrons et badaboum, un drôle de bruit se fait entendre du côté de la transmission. Nous appelons notre équipier et kiné-mécanicien Pierre Duchateau (sans jeu de mot) pour un essai. Verdict sans appel, boite cassée en 3 et 4. Jamais, la BM n’a renâclé pendant la journée, ni donné des signes d’alerte. Pendant que nous sommes complètement abasourdis, la vieille fille en profite pour vidanger son huile de boite devant le château. HONTE POUR NOUS !

arrivée à Fontainebleau elle nous lâche !

Abandon ? SOS Martine !

La déception est totale et Eric ne cache pas sa tristesse. Abandonner ce rallye malgré tout amusant, pas question. Il FAUT trouver une solution. Soit :
 1. continuer en espérant que le reste tienne. Vite oublié, car peut être dangereux.
 2. ayant pris une assistance juste avant le départ, coup fil chez Ethias, pour ne pas les nommer, pour le rapatriement de la 2002 et pour obtenir un véhicule de remplacement, afin de continuer le rallye hors classement. Pas autorisé, un délai de carence de 5 jours est d’application pour le véhicule.
 3. idée de génie d’Eric : faire venir son épouse, d’Andenne, avec la BMW 1502, vous savez celle avec laquelle JP Hontoir et moi-même avons gagné la Nuit Noire en février. N’oubliez pas qu’il est maintenant près de 17h00. Martine marque son accord, remue ciel et terre pour trouver un ou une accompagnatrice.

Pendant ce temps, nous avons obtenu l’accord de la direction de course et des autres participants pour le changement. Comme il n’y a pas encore eu de classement, mais uniquement de la liaison, pas de problème. Un dépanneur vient chercher la 2002, nous conduit à la concession BMW en sortie de Fontainebleau d’où elle sera rapatriée. Martine recontacte Eric. Bonne nouvelle, elle quitte Andenne avec sa s ?ur, il est 19h00 et plus de 400 km pour arriver au Novotel dans les bois de Fontainebleau. Entre-temps, nous aurons décollé prudemment les numéros de course, les divers autocollants des sponsors, attendu le taxi qui doit nous ramener à l’hôtel. Vite une douche, manger et dodo pour moi, car la santé ne va pas du tout. Eric va attendre son épouse et sa belle-s ?ur qui arriveront vers 01h00 du matin. Voyage sans problème, périphérique de Paris heureusement vide. Moi je dis grand coup de chapeau et merci à elles. Eric aura passé une courte nuit.

La petite BM à changé de couleur ...

Mercredi 8, 06h30, nous sommes déjà à pied d’ ?uvre. Dans le magnifique parc de l’hôtel situé en pleine foret de Fontainebleau, nous devons remonter le rétrotrip dans la 1502, recoller les autocollants qui ne le sont plus guère vu l’humidité ambiante. L’assistance déjà levée pour nous aider est la bienvenue. Vite petit-déjeuner à 07h30, grand merci et au revoir aux dames, car départ à 08h00 pour l’étalonnage et voir si tout va bien sur la liaison nous menant à la première zone de régularité (ZR). Tous les concurrents sont rassemblés, le rallye peut réellement commencer.

La petite BM a changé de couleur !

Au programme de la journée Fontainebleau - Vichy avec 3 ZR et nouveauté, arrêt d’une heure le midi pour la restauration. C’est ici que les choses sérieuses vont commencer.

A part la couleur, nous ne sommes pas dépaysés au volant la 1502. Nous entendrons souvent que « la grosse » a fait « une petite » pendant la nuit ou qu’elle a changé de couleur. Vous voyez, tout cela est bon enfant et malgré les budgets engagés, personne ne se prend la tête. Convivialité est le maître mot et vous verrez sur les photos, que l’assistance a fait les choses en très grand, avec la complicité de l’assistance de concurrents liègeois. Bien vite, ce sera le point de ralliement de tout le rallye, y compris les officiels.

1ère ZR, sur une départementale bien droite à 50 km/h de moyenne. Barbant et dangereux, vu la circulation. Nous ne savons pas s’il y a une ou plusieurs prises de temps. J’ai oublié de vous dire, nos voitures sont dotées, à hauteur du pare-brise, d’une cellule photoélectrique, qui prend le temps de passage automatiquement. L’arrivée se fait en ligne droite, à l’entrée d’un village, après une punition de 34 km. Malins comme des singes, nous aurons tôt fait de repérer les officiels et de passer pil poil. La mise en jambe est bonne, Eric est confiant et la voiture roule bien. La route devient un peu plus agréable, nous longerons la Loire, traverserons Sancerre, à votre santé.

2è ZR, à 45 km/h de moyenne, par des routes plus sinueuses et pittoresques du Berry. Les officiels sont toujours aussi visibles en arrivée, du moins pour nous. Pourtant plusieurs favoris se laisseront piéger par un rond-point juste avant le flash final. Dans la voiture n°1 tout va bien, RAS.

Arrivée à Vichy.

Après 210km arrêt déjeuner à La Guerche sur l’Aubois, à hauteur de Nevers. Bienvenu, Eric a grand faim, le moral est au zénith. Quant à moi, la santé se dégrade encore, médicaments, boissons chaudes et sieste obligatoirement au programme. La rhino-pharyngite est déclarée. Aie, aie, aie. Je ne peux malheureusement pas profiter de l’amusement collectif à l’assistance.

Bon, ce n’est pas tout, il faut redémarrer, directement en ZR n° 3 (40 km/h), assez long, si je me souviens bien. Nous partons vers le sud, en longeant maintenant l’Allier et en traversant le département du même nom, direction Vichy.

Nous traverserons un très petit village Apremont, absolument fantastique, on se serait cru en Irlande. Vichy est atteint sans difficultés vers 16h00.

Vichy, les thermes, la Célestin et ... les premiers résultats !

Nous logeons au Novotel, en plein centre-ville, à côté des Thermes et de sa place remarquable. A voir absolument. Nous profitons de notre arrivée précoce, pour visiter. Les Thermes sont animées, il y a un bal musette. Nous goûterons aux diverses sources, pour n’apprécier que la Célestin et ... l’apéro de l’assistance du Dinant Classic Club. Le repas du soir prend du retard, pourtant, pas question d’aller dormir avant le 1er classement. Houlà, houlà, ça y est, il est affiché et surprise de taille ??? Nous sommes ...

 1ers avec seulement 5 points de pénalité. ZR 1 : 1 / ZR 2 : 1 / ZR 3 : 3.
 2è, les Finlandais Hintikka-Suonio (co-pilote de Timo Saalonen) sur une méchante Porsche 911, suivent avec 18 points
 3è, les Belges Vandenheynde, Mr et Mme, sur Porsche 356 : 21 points.

Nos équipiers Duchateau-Laduron sont très bons 6è avec 47 points et les néophytes Louckx-Geiben 25è avec 1149 points. L’ami Marcel s’est quelques peu mélangé les pinceaux sur le routier.

Vichy Celestin, nous buvons de l’eau ...

Pas le temps de fêter ces bonnes nouvelles, il faut me soigner et me reposer, à défaut de bien dormir, car on se prend vite au jeu et le résultat est là.

L’assistance, quelle équipe formidable !

JEUDI 9, c’est avec un grand sourire, le moral et... la "crève" que je me lève. Je me demande comment je vais faire pour aller jusqu’au bout. Une fois de plus, les encouragements et l’aide de l’assistance feront des miracles.

08h00, Place des Thermes, il fait déjà ensoleillé, mais glacial. Avouez, que depuis le départ, le soleil est toujours présent, mais le froid polaire aussi.

Longue étape au programme, avec de plus en plus de petites routes (enfin !!!), direction le nord de l’Ardèche et Saint Bonnet-le-Froid, haut lieu du Rallye de Monte Carlo.

L’équipe d’assistance du DCC, une bande de gai lurons formidables !

Après un mise en jambes de 30 km, 1ère ZR de la journée à 45 km/h, entre Ferrière s/ Sichon et Noirétable, via les Monts de la Madeleine. La route est sinueuse et fort vallonnée, mais comme mercredi, aucune difficulté de navigation. L’organisateur a écouté les conseils des spécialistes belges que nous sommes, et la planque des contrôleurs bien camouflée. Les écarts vont s’accentuer. Toutefois, la Lancia Fulvia Zagato n° 2, deux Suisses, ont compris le système puisque le n° 1 est la voiture en tête et qu’ils ont l’air de s’y connaître, suivons les et lorsque nous verrons qu’ils ralentissent, c’est que l’arrivée est là. A ce petit jeu, ils vont remonter au classement. Mais où est le plaisir ?

Pour nous, RAS sur la route. Nous laisserons St Etienne sur notre gauche, pour rejoindre St Bonnet-le -Froid pour la halte de midi. Déjà 175 km dans les roues. Je crois que l’assistance nous avait prévu apéritif (et zou un petit whisky pour soigner la gorge), pâtes froides, vin rouge et bon café. Avouez que ces trois lascars font des merveilles : dormir très peu, dans un confort très relatif, faire les courses, le parcours sinueux en camionnette et arriver à temps, faire la cuisine et vous attendre avec un grand sourire, la table prête. Comment font-ils ? Ne pensez-vous pas qu’ils méritent bien de nous accompagner au repas du soir et de prendre une bonne douche chaude dans nos chambres, chaque jour ?

Duchateau-Laduron

Revenons au rallye. St Bonnet, nous connaissons (enfin nous pensions) pour l’avoir parcouru au Monte Carlo 2004. Nous avons le temps, aussi je propose à Eric d’aller voir à la sortie du village où revient la route de la "spéciale", si l’arrivée de ZR 5 n’est pas là. Bingo. Mais est-ce la seule prise de temps ?

Daniel Pigeolet.

 Partie 2 : La course de Nîmes, pas dans les arènes !

 Partie 3 : Dernière journée, 256Km mais un programme ardu !

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