Le circuit de Mettet nous accueille pour son événement majeur de la saison : Superbiker 2019.

Dimitri Haulet, Philippe Haulet    2019-10-18 15:39:37   

Encore une fois, le circuit de Mettet nous accueille pour son événement majeur de la saison.


Ecoutez ceci et imaginez des milliers de spectateurs tout ouïe.

Jingle du Superbiker.

C’est probablement un motif de présence à Mettet pour le Superbiker, mais pas le seul.

 Pour le comité, l’occasion de nous présenter le...


 Les rencontres impromptues.

Marc Duez.

Stefan Everts.

Joël Robert.

Incognito...

 Si les spectateurs sont motivés, que dire des participants ?

Didier Jacques.

« Mettet, c’est la plus belle course de l’année, celle que personne ne veut rater. Tous les pilotes présents ici éprouvent le même sentiment. Pluie ou non, froid ou non, c’est la cerise sur le gâteau.

Personnellement, je suis venu très tard à la moto grâce à quelques copains, j’avais 40 ans.

La moto, c’est beaucoup de satisfactions, des rencontres, d’amis. Je pratique le Supermotard en Belgique, quelques courses en Hollande, les Nations.


Un bon souvenir est le départ en première ligne avec une très belle course, ici à Mettet, un moment émouvant. »

Laura Dubois.


« Cette saison, je n’ai participé qu’à une seule course à Bilstain en supermotard. Le travail ne me laisse que peu de temps pour d’autres occupations.

Participer à Mettet reste une énorme satisfaction sur ce circuit magnifique. Mais la qualification ne s’est pas déroulée aussi bien que je ne l’espérais. J’étais loin sur la grille à chaque manche. »

Axel Marie Luce.

« J’ai 17 ans et je suis le frère d’Alexis qui arrive au terme de sa carrière. C’est avec plaisir que je reprends le flambeau. Et surtout un grand plaisir d’être à Mettet pour la 33ième édition du Superbiker, avec le team ‘Les 2 roues’.

La passion est venue par un cousin qui a contaminé mon frère. Moi, j’ai suivi le chemin tout tracé.


Mettet, c’est le show très médiatisé, beaucoup de monde, les meilleurs pilotes du monde.

Se confronter à eux, c’est une excellente expérience. Comme tout pilote, je souhaite vivre de ma passion et devenir professionnel.

Pour cet événement, je souhaite me qualifier pour la finale et réaliser un beau parcours. »


Lionel Charlier.

« Tout jeune, je voulais faire de la moto mais elle n’est pas venue à moi.

J’ai suivi des copains qui roulaient en quad. Vers 18 ans, j’ai investi mon premier salaire et les suivants pour ma passion.

Si les résultats sont difficiles à obtenir à cause de l’âge et des besoins financiers, je garde le moral et la pêche.


Je remercie mes sponsors, mes parents et mes amis. J’ai à cœur de nous savoir tous réunis.

En 2016, je suis premier en Wallonie pour la FMB. En 2017, je suis 9ième à Mettet. J’ai accès à la super finale ce que je voulais.

Aujourd’hui samedi, j’espère mais la concurrence est rude, notamment avec les RST.


Mettet est la couse que chacun attend depuis le début de la saison. C’est la dernière course de l’année et c’est la cerise sur le gâteau, la présence des amis et de la famille, dans une ambiance de fête.

Les casses mécaniques sont des mauvais souvenirs mais, heureusement, les bons souvenirs sont plus nombreux. »

Lauriane Martinuzzi.


« J’ai 23 ans, je suis de la région de Mettet et je roule en quad. Depuis mon plus jeune âge, c’est une vraie passion que je partage avec mon papa.

De 5 à 12 ans, je participe à un championnat. Après une pause de quelques années, je reprends goût. Et depuis deux ans, je repars en championnat. Je constate une progression par rapport à la saison précédente.

Le physique a beaucoup d’importance mais je ne m’entraîne pas assez. L’an dernier, pour ma première participation au Superbiker de Mettet, je termine à 3 places de la grande finale. Mon but aujourd’hui est d’y accéder. »


Vertemati.


« L’an dernier, nous espérions la nouvelle moto pour cette édition du Superbiker mais c’est encore reporté.

Toute l’année, j’attends cette course si importante et si belle.
Malheureusement, en Italie, le supermotard vit mal. Les compétitions coûtent cher et sont difficiles à organiser. »

Niek Meijerink.


Sa maman nous en parle.

« Mon fils roule sur cette moto depuis 2 ans. Il a commencé la course à 5 ans sur une KTM 50CC de motocross.

La moto est une passion pour lui, un rêve mais j’ignore s’il pourra se concrétiser.

Les personnes qui le connaissent savent qu’il est un gentil garçon, ouvert et soucieux des autres. »


Loris Rosati.


« Mettet, pour moi, c’est le meilleur événement de la saison, un endroit merveilleux, avec beaucoup de personnes enthousiastes. Même si je viens par la route et que c’est 14 heures de voyage, je suis content de participer. »


Gilles Dejong.


« Cette saison s’est bien déroulée, avec plusieurs événements. La nouvelle génération des ‘Red Bull X-Fighters’ s’appelle ‘Red Bull Dirt Diggers’.

Grosse surprise pour moi, j’ai la chance d’y participer, invité en dernière minute.

Red Bull Dirt Diggers.

Trois spécialités : free ride, big jump, free style et je termine cinquième au niveau mondial. C’est vraiment top.

Donc, une bonne saison bien remplie avec cette touche particulière.


En Belgique, nous avons 2 à 3 courses par an, très peu. Nous sommes surtout en Allemagne, en Suisse et c’est chouette de voyager.

Pour la saison prochaine, les ‘Red Bull Dirty Diggers’ organiseront plusieurs meetings en Europe, dates et lieux à préciser mais j’y serai. »


David Checa.


« Notre nom est surtout connu par la carrière de mon frère Carlos en MotoGP.

C’est un sport qui coûte très cher. Je le remercie parce qu’il m’a beaucoup aidé, surtout au début, pour la mécanique et la technique. C’est grâce à lui que je suis devenu ce que je suis.

Comment mon frère est venu à la moto est simple. Dans les petits villages, les enfants se mesurent sur la route. Mon frère organise une course de mobylettes autour de quelques ballots de paille.

Il est repéré par quelqu’un qui lui propose de participer à des courses. Il commence ainsi et travaille aussi pour couvrir les frais.

Petit à petit, il se fait un nom. Quand j’ai voulu aussi courir, ce n’était plus aussi ‘facile’, beaucoup plus cher et notre famille n’est pas riche.


Heureusement, mon frère m’a aidé. Par manque d’argent, j’ai arrêté une saison.

J’ai travaillé en superbike pour développer des kits, avec Michelin, Dunlop, Pirelli. Cette année, je suis champion du monde avec Kawasaki. Ma place est en endurance, ce que j’aime. Et je suis satisfait de ma carrière :

 4 titres de champion du Monde, 3 fois 2ième et 2 fois 3ième.
 3 victoires 24h du Mans.
 3 victoires Bol D’or.
 3 années en championnat du monde 250CC, de 2000 à 2002 et 3 courses en MotoGP en 2005, remplaçant Elias.

Quel bonheur !


Mettet, depuis longtemps, je voulais y participer, car tous les pilotes que je rencontre me parlent du Superbiker.

Coco du team ‘Les 2 roues’ m’a sollicité et c’est la première fois que je suis disponible.

J’ai galéré cette saison, blessure difficile à soigner et peu d’entraînement mais je suis présent.

Mes temps actuels ( samedi matin ) ne sont pas satisfaisants mais il y a un an que je n’ai pas roulé sur une supermoto et je découvre le circuit.

Je suis ici pour me faire plaisir et m’amuser. Merci à Coco. »

Kimberly Schijven.


« Sur une moto ‘ordinaire’, j’éprouve peu de sensations. Après avoir assisté à une compétition de Supermoto, j’ai dit que c’est la moto qu’il me faut. Je suis allée sur le circuit et j’étais très excitée.

Quand je recherche un endroit pour m’entraîner, je tombe sur quelques types qui pratiquent le stunt.

« Waooow, c’est ce que je veux. »

Ce n’est pas trop cher. Tous les dimanches, nous nous réunissons pour l’entraînement et la fête autour du barbecue.

Depuis que notre piste est fermée en Hollande, les pilotes hollandais ne roulent plus et je viens en Belgique.

Malheureusement, tous les sports mécaniques régressent. J’ai commencé en 2010 et ces quatre dernières années sont très difficiles. Plus d’endroit pour l’entraînement, de moins en moins d’autorisations et de shows.


J’ai un mauvais souvenir ici à Mettet. Je roulais avec plusieurs pilotes mais nous ne nous connaissions pas assez. Une autre fille m’a renversée et je suis restée bleue pendant longtemps.

Un bon souvenir est une fête en Allemagne où tout se faisait avec la moto, boire, manger et même danser. »

Maxime Cluydts.


« Ce samedi, c’est une belle victoire car j’ai raté le départ. Je suis quatrième au premier virage et très fâché. Je reviens assez vite. Comme j’ai forcé au début de la manche, la fin a été physiquement difficile. Ce quad ne sert que pour Mettet, pas en championnat de Belgique. »

Sarah Lezito.


« J’ai 27 ans et je proviens de Reims. J’ai commencé le stunt vers 13 ans, donc la moitié de ma vie actuelle est consacrée aux roues arrière.

A 13 ans, j’emprunte le quad de mon père. Avec les amis de l’école, le soir, nous essayons de faire des roues arrière, des figures et des petites vidéos. Vite, cela devient un challenge. Nous nous essayons aux roues sur le côté, sans les mains, … bref toujours plus.


Avec le temps, je participe à plusieurs forums et partout où je voyage en France, je rencontre des personnes partageant ma passion.

A 16 ans, je roule sur une 125CC. La moto offre plus de possibilités que le quad pour le stunt.

Aujourd’hui, je roule sur une Suzuki GSXR 750, moto polyvalente et parfaite pour la piste de Mettet.


Actuellement, c’est mon métier à plein temps. Je fais mes propres projets vidéo, c’est un moyen de communiquer ma passion.

Au cinéma, je fais du doublage pour des actrices. A Mettet, j’y suis pour la troisième année consécutive, un régal. »

Mark Reiner Schmidt.


« A 3 ans, je commence à rouler à moto. A 6 ans, je débute en moto-cross.

Plus tard, je switche vers le supermotard mais je m’entraîne toujours en motocross.

Je participe aux courses de supermoto et c’est ma vie.


J’ai 23 ans et je roule pour le L30 Racing Team d’Italie. L’an dernier, j’ai gagné ici à Mettet.

C’est un événement extraordinaire sur un circuit fantastique. Et quelle organisation !

Je suis impatient d’être sur la piste. C’est le meilleur événement du monde et je suis prêt.

Mettet, c’est le rendez-vous des meilleurs pilotes du monde. »

Ainsi, les spectateurs apprécient les courses et les attractions.

Chaque participant rêve de la victoire.

Mais soyons corrects, S.V.P. et n’utilisons pas n’importe quel moyen pour y parvenir !


😂

Dimitri & Philippe Haulet.

Nos photos.

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